« Tu est mon frère... Accepte Mère !! »

J’ai du poser deux fois la même question, pour que « monsieur, l’ange déchut » daigne me répondre. Sa réponse ne me plaisais pas et pour et pour montrer mon mécontentement, je lui lançais un regard remplie de haine, c’était le seul regard que je destinais à Sephiroth, après ce qu’il a fait, c’est tout à fait normal que je me comporte ainsi. Celui qui ne me comprend pas, n’est pas humain. Je ne lui pardonnerais jamais pour ce qu’il à fait, il y a une dizaine d’années. La mère de Sephiroth, Jenova recommença à me parler, décidément elle ne voulait pas me lâcher aujourd’hui. J’étais troubler par ces paroles, surtout lorsqu’elle « m’ordonne » d’oublier ma mère. Et puis quoi après ?

Sephiroth voyait que j’avais été troublé par ce soit disant « ordre », qui en rajoutait une couche, certainement pour me voir complètement anéanti, déstabiliser, doutant de moi même
" Non Cloud ce n'est pas ta vraie mère. Ce n'est pas elle qui t'as mise au monde, il n'y a aucun lien de parenté entre toi et cette femme. Par contre, le même sang coule dans nos veines, petit frère. N'essaye pas de le nier, tu ne eux pas y échapper. Par contre si jamais tu ose encore une fois nous renier, je vais devoir sévir. Aerith est revenue à la vie elle aussi ? Sa serai vraiment dommage qu'elle retourne d'où elle vient ...."

Non, c’est toi qui a faux Sephiroth. Avant que tu m’arraches mon village natal, j’avais une mère et tu la tuer. Contrairement à toi, c’est juste après l’incendie et ta « mort », qu’on m’a injecté les cellules de Jenova, c’est ton « père » qui a fait ça. Je soupirais.
« Décidément tu ne comprends rien ! Sais-tu a quel moment où j’ai eu ces gènes ?...Après l’incendie de Nibelheim…. »
Je n’eu pas le temps de continuait, que Jenova recommençait à me reparler dans mon esprit.
* Tu n’étais pas là ! *

Cette phrase ? On me l’avait déjà dit, il y a un peut plus de deux ans. C’était quand j’avais les souvenirs de Zack, mais aujourd’hui c’est différent, aujourd’hui, j’avais mes vrais souvenirs.
« Si j’étais là, j’étais un jeune fantassin à peine âgée de 16 ans ! Je suis celui qui t’avais transpercé avec l’épée de Zack et celui qui t’a fait tomber du réacteur à Mako.»
Pour une fois, la voix ne me contredisait pas. J’avais sans doute gagné sur ce point ou alors ils vont me pondre une autre excuse. D’un seul coup, les dernières paroles de Sephiroth comme quoi il tuerait Aerith si je n’accepte pas ce lien, me sont vite revenue. Holà, mon pauvre vieux, si tu veux rester ici, il vaut mieux ne pas me dire ça.
« Si tu la touche, crois moi que c’est toi qui va retournais d’où tu viens ! »

J’avais à peine dit Nibelheim que je reçois une nouvelle claque de la part de Katherine, c’est bon j’ai rien dit de mal, alors pourquoi cette nouvelle claque. Je vous jure, avec eux on ne peut pas parler qu’on se prend déjà des coups. Je n’avais pas bougé, bon une claque ça ne fait rien…à part la première je l’ai bien sentie celle-là et je ne l’ai surtout pas vu venir. Une de mes phrase l’avait mise hors d’elle, je le savais car elle me lança un regard remplit de haine, je ressentais sa haine envers moi et aussi, car elle me prit par le cou et me souleva hors du lit.

-Arrache le moi encore une fois et je détruis ce monde !! J'ai erré des mois & des mois à la recherche de mes frères et de Sephiroth, jusqu'à ce qu'un de mes frères revienne et que j'ai ce rêve de toi entrain de tué celui que j'aime.
Je la fixais.
*C’est vous qui avez commencé à me faire du chantage.*

Je m’en foutais un peu de ce qu’elle racontait sauf pour le cas de détruire la planète, là non, mais le reste oui. Elle à du le remarquer, vu qu’elle m'explosa contre un mur, je fis une légère grimace à cause de la douleur.
-Mais en plus de sa, tu tue mon enfant et tu continu de faire le malin? Je me demande ce qui me retient de ne pas tué cette Aerith devant tes yeux !!
*Si tu te pose cette question, ça veux dire que tu ne me connais pas.*

Oui, j’aime sans doute faire le malin, enfaite j’ai un don très spécial. Le don d’énerver n’importe qui, n’importe quand et n’importe où. Je suis comme ça, on ne me changera jamais. Mais quand Katherine reparla de tuer Aerith, mon regard « malin » se changea en regard remplie de haine et de colère. Je la revoyais s'approcher de moi, je commençais à plier mes jambes, si elle continue à avancer, elle aura droit à un autre coup dans le ventre. Elle était proche de moi, au moment où elle se baissa vers moi, certainement pour me frapper une nouvelle fois, je l'envoyais contre le pied du lit avec mes pieds.